Kate assure le suivi de ses œuvres grâce aux applications d’appels. Dans les dernières vidéos en ligne filmées à Anmer Hall et diffusées dans le cadre de la Semaine de sensibilisation à la santé mentale maternelle qui se déroule en pleine crise de Coronavirus, la marraine du Collège Royal des obstétriciens et des sages-femmes échange avec les soignants d’un service de néonatologie sur le pied de guerre. Toujours par visioconférence et dans un autre extrait, la duchesse adresse ses chaleureuses félicitations à un couple, parents d’un nourrisson né la veille, à la maternité du Kingston’s Hospital où elle a effectué un stage en novembre. L’intervenante princière habillée en bleu layette fond quand la caméra se rapproche du berceau. “Oh qu’il est mignon!”s’exclame-t-elle en découvrant le bébé de Rebecca Attwood. “Est-ce une fille ou un garçon?” “Un garçon”, lui répond l’accouchée. La duchesse s’enquiert aussitôt de la santé de la mère: “mon dieu, vous devez être épuisée”. Interviewée par les médias, la nouvelle maman a déclaré: “avoir une conversation surprise avec la duchesse de Cambridge, après deux heures de sommeil, était complètement irréel”, a déclaré la nouvelle maman aux médias.


Très beau pull à chevrons. Quant à la robe je passe mon tour. Les fronces plus le volant alourdissent, pour moi, cette tenue.
Mais si elle plaît à Catherine c’est bien le principal.
L’important n’est pas là. L’intention prévaut sur l’habillement.
Michèle
Bonjour au Boudoir ! Très bel article qui relaie l’engagement de la duchesse en ces temps difficiles. Bien qu’elle ne puisse aller sur le terrain, elle utilise tous les moyens à sa disposition pour se mettre à disposition des personnes. Cela fait partie aussi de la mise en beauté ! Pull superbe, robe “bristish”. Kate est continuellement en devenir…
Bonjour à toutes,
Merci Lynda de votre message ! En vous lisant, je n’ai pas pu m’empêcher de fredonner sur un air très (trop ?) bien connu “Confinée, connectée…” et du coup, de vous délivrer ici mon refrain revisité de la future reine (des neiges du Norfolk) :
“Confinée, enfermée, je reste toujours connectée,
Confinée, enfermée, au service de la royauté.
J’ai laissé mon enfance en hiver,
Perdue dans le Norfolk,
La campagne est pour moi le prix de la liberté…
Confinée, enfermée, mais toujours bien connectée,
Confinée, enfermée, occupée, dévouée, en beauté,
Me voilà, oui, je suis là…
Perdue dans le Norfolk,
Anmer Hall est pour moi le prix de la liberté…”
J’espère que Kate ne m’en voudra pas…
Et je voudrais ajouter au commentaire de Noëlle que nous sommes toutes “continuellement en devenir”, même encore masquées et confinées !
Bien amicalement à toutes !
Effectivement Martine nous sommes toutes en devenir.
J’avoue que moi je suis en devenir “mémé ” toutefois pas dans les orties.
Vous m’avez fait rire ce qui est une bonne chose en cette période de confinement. 😂
J’essaie contre vents et marées de m’accrocher aux branches. Je tente de trouver des marques de qualité et un joli pull porté par la duchesse de Cambridge m’a jeté un sort, un bon sort. J’ai découvert ” sezane “. Là je peux trouver des vêtements qui ne me transforment ni en jeunette ni en vieille vieille dame.
Je n’achète, bien sûr, ni les robes courtes ni les hauts très décolletés. Il y en a pour tous les goûts et presque tous les âges.
Alors vive princesse Catherine qui en plus d’assurer ses devoirs de royale nous fait découvrir une marque française.
Par contre je ne risque pas de la rencontrer dans le Norfolk, j’ai bien trop peur du climat écossais.
Quant à ” mes oeuvres ” pour reprendre le devenir des femmes, j’aide enfants, petits-enfants et amis, j’essaie d’être agréable avec les gens que je rencontre et je m’en tiens là ce qui n’est pas très généreux j’en conviens mais comme on dit: Charité bien ordonnée commence par soi-même.
Et de toute façon je ne peux pas plus.
Par contre je suis d’accord avec vous, certaines femmes sont en devenir leur vie durant.
Je les admire mais ne le puis.
Amicalement et faites attention à vous.
Michèle
Alors mon devenir
Oups !! Que fait cette phrase ??
Merci beaucoup Michèle pour votre message ! Il est bien certain que la duchesse nous stimule dans le bon sens et dans “notre devenir”. Même confinée, je veille à rester toujours correctement habillée, et même masquée, je ne sors jamais sans mes boucles d’oreilles. Comme vous, je suis une mamie, qui ne se laisse pas non plus “pousser dans les orties”…En ce moment, je couds des masques pour mes petits-enfants… L’essentiel est de faire ce que nous avons à faire, ici et là où nous sommes, dans le temps qui nous est donné, ni plus, ni moins, et de le faire toujours le mieux possible.
Pour ce qui est de rencontrer Kate, ne craignez pas le climat du Norfolk ! En effet, permettez-moi de vous préciser que le Norfolk n’est pas en Écosse, mais à environ 200km au Nord de Londres : ce comté se situe sur la mer du Nord et son chef-lieu est Norwich. C’est dans ce comté, aux environs de King’s Lynn, que se trouve le domaine royal de Sandringham où se rendent la reine et sa famille tous les ans pour les fêtes de fin d’année, et c’est sur ces terres royales que se situe la demeure préférée de Kate, Anmer Hall.
Je vous embrasse virtuellement, prenez soin de vous et portez vous bien, à bientôt sur le boudoir !
Martine de Bretagne
Bonjour Lynda, Bonjour le Boudoir!
En ces temps d’insécurité, la famille royale représente un repère certain. Les discours et les actions menées par la duchesse et sa famille importent, encouragent et rassemblent. De l’implication, de l’action, du réconfort. J’avoue que l’intervention de la Reine m’a beaucoup touchée. Quelle prestance, quelle présence! Merci à elle, merci à sa famille, petits et grands, merci à tous les bénévoles et les professionnels de la santé, ainsi que de toutes les professions d’ailleurs.
Je vous embrasse. Prenez soin de vous et de vos proches.
Christelle
Merci Christelle.
Amicalement
Michèle
Bonjour les ladies. Une belle journée ensoleillée s’annonce aujourd’hui en Touraine.
Un peu de bronzette dans le jardin mais comme le dit si bien Martine restons confinées mais pas négligées.
Boucles d’oreilles accrochées, jean et joli tee-shirt enfilés et c’est parti pour la couture.
Moi aussi je fais des masques pour famille et amis.
Je vais peut-être prendre des cours pour arriver à me confectionner des vêtements.
Je pourrai ainsi choisir mes tissus. Choisir les imprimés est mon premier travail quand j’achète un vêtement puis je regarde le tissu et privilégie les matières naturelles, laine, coton, lin, soie et cuir ( seulement pour les chaussures car je n’ai pas le compte en banque du prince Charles, oups ) et enfin très très important, la coupe. Je suis très exigeante je l’avoue.
Je me demande comment Kate de Cambridge choisit ses vêtements.
Et vous comment procédez-vous ?
Et pour finir, ” je n’ai pas changé “, comme dirait Julio Iglesias, situer le Norfolk en Ecosse !!. Oh my God, pourtant je le savais.
Merci Martine pour la rectification.
Prenez toutes bien soin de vous,
Michèle
@ Chère lady Montaine. Comment vous portez- vous ?
Au plaisir de vous lire.
Je vous embrasse,
Michèle
Bonjour Michèle,
Merci pour vos bonnes pensées. Je suis donc confinée. Je lis, j’écris… j’écris, je lis … Parfois je balance entre lire, lire lire ou écrire, écrire, écrire… Je papote au téléphone : allo cousine(ssss), frérot, sœurette et enfants chéris. Je “ WhatsApp ” dare-dare. Je m’amuse de toutes les blagues qui inondent Internet. Avez-vous vu le pastiche de la Marquise de Sévigné ma copine ? C’est un faux ! Internet est en émoi. Ça caquette de “ France Inter ” à “ Libération ” en passant par “ France Bleue ” sans oublier “Francetvinfo.” Mazette ! Certains s’offusquent, d’autres en rient, d’autres encore font les sages et nous expliquent tout ce qu’il y a de profond dans ce pastiche, d’autres enfin font les Sherlock Holmes et relèvent les incohérences langagières ou historiques. C’est plutôt rassurant tout ce remue-ménage autour d’un pastiche de notre Divine Marquise. En son souvenir je mange du chocolat !
Bon je fais quoi d’autre… Ah oui ! je regarde par la fenêtre. Je vois le soleil, le vent dans les arbres, le brouillard, je repense au poème “le ciel est là par-dessus le toit.” Était-il confiné ce Mister Verlaine pour enfiler des pensées aussi simples que des perles de pacotille ? Je pense à ce que je ne fais pas, à ce que j’aurais dû faire, et à ce que je ne pourrai plus faire car on ne rattrape pas le temps perdu. Donc, ces deux mois passés sont en sourdine ou sur coussin d’air ou en roue libre… Un jour est le reflet de l’autre, c’est pas mal ! C’est banal ! C’est reposant !
Je cuisine aussi… Je fais des biscotti. Il faut vraiment avoir du temps à perdre pour émonder des noisettes ! Ce qu’il y a de bien c’est que les affaires urgentes ne vont pas nous chicaner les minutes passées en folle compagnie de nos noisettes. Faire une première cuisson, couper les biscotti en biscotti, les remettre au four les tourner … Enfin, “ ils ” ( ma chère famille ) adorent. Qu’ils se régalent car une fois notre liberté rendue ils se rappelleront avec émotion ce temps béni de confinement où ils grignotaient comme des hamsters, ces petits gâteaux intrinsèquement archi secs.
Je vous envoie toutes mes bonnes pensées.
Montaine
Oh! chère Montaine comme votre plume s’est affûtée à force d’écriture. C’est un vrai régal de vous lire.
Je n’ai pas vu le pastiche de madame de Sévigné mais je vais me renseigner.
Je n’écoute ni la radio ni la télévision. J’aimerais vivre dans un silence nourricier. N’entendre que le bruit des oiseaux.
Mon temps confiné passe en petites choses futiles, parler à mes amies sur Facebook, lire les articles publiés, passer de sites de vêtements en sites de vêtements et m’imaginer dedans juste avant de réaliser que je n’ai plus vingt ans, que l’on ne peut revenir en arrière comme vous le dites si bien.
Je suis sereine puis soudain attristée car il m’arrive de ne plus trop me reconnaître dans la glace.
Depuis combien de temps ces rides et cet affaissement de ma peau sont apparus ? Depuis deux mois, deux ans.. .je ne sais plus, je doute de moi, je choisis un vêtement à acheter, je cherche de l’aide auprès de mon homme pour finalement jeter mon dévolu sur ce qu’il propose. J’ attends, j’attends encore, le paquet arrive, tels les paquets cadeaux de mon enfance, ces paquets en forme de cornets où l’on découvrait mille friandises et petits jouets et un plaisir toujours renouvelé.
Les minutes s’arrêtent le temps d’un essayage, oui l’époux a bien choisi. Parfois il n’aime pas, une ceinture serait nécessaire; je me rebelle, suis soudainement sûre de moi, non cette robe se porte ainsi et c’est ainsi que je la porterai.
Parfois je me dis que nous resterons ainsi de longs mois, à ne pas voir nos êtres chers, à ne pas même pouvoir prendre un thé, une boisson à la terrasse d’un café, à ne pas pouvoir seulement marcher, tout simplement marcher dans notre belle ville de Tours.
Alors à quoi bon s’apprêter ? Mais non, il faut continuer, s’habiller, mettre ses boucles d’oreilles un petit collier, se coiffer, bref vivre normalement.
Je téléphone moi aussi, je rassure, je me rassure. Tout va bien.
Je passe beaucoup de temps perchée dans les nuages, je rêve de voyages incertains.
Je cuisine, je fais mon pain, j’épluche beaucoup de légumes, de fruits, je prends le temps.
Je lis, je joue.
Bref ce temps suspendu amène à la réflexion, à une réflexion, c’est un temps qui nous recentre sur nous-mêmes.
Voici chère Montaine comment j’occupe mes jours.
Prenez bien soin de vous.
Mille bisous.
Michèle